Orange : la journée des coups fourrés

Redoutant une assemblée générale plus problématique que prévu, la direction du groupe a fait pression sur l’actionnariat salarié pour qu’il revienne sur son refus de changement de statuts, afin de faire front commun pour imposer la présidence de Jacques Aschenbroich. Au mépris de toutes les règles de gouvernance et avec l’appui, comme chez Engie, de la CFDT.

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Cela devait être le début d’une nouvelle période. Après six mois de flottement, de tractations en coulisses, l’assemblée générale d’Orange ce 19 mai devait marquer le retour à plus de visibilité et de stabilité pour le groupe et ses salariés. Mais des manœuvres de dernière minute viennent ébranler cet objectif, et obscurcir les débuts de la nouvelle direction à peine installée.

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