Cela pataugeait sec au début de l’audience de la XVIIe chambre de la cour de Paris, vendredi 16 mai. Le tribunal devait juger une invraisemblable affaire d’espionnage contre le mari d’Anne Lauvergeon, Olivier Fric, organisée, selon l’accusation, par un responsable d’Areva à l’époque, Sébastien de Montessus, et l’agence de renseignement économique suisse, Alp Services.
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