GM, Fiat, Opel et les autres: la nouvelle planète automobile
General Motors, l'ancien numéro un mondial de l'automobile, est en faillite depuis le 1er juin. C'est la conséquence mécanique du rejet de la restructuration financière par ses créanciers. Avant cela, GM, engagé dans un bras de fer avec le gouvernement allemand, doit annoncer le choix du repreneur de ses opérations européennes, Opel pour l'essentiel. Une formidable partie d'échecs s'engage qui dessinera le paysage automobile mondial. Une chose est certaine: elle marque la fin du particularisme américain et de la domination de Detroit. Analyse.
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LeLe spectacle de danse du ventre qu'offrent les candidats à la reprise des opérations européennes de General Motors, essentiellement l'entreprise allemande Opel, ne doit pas masquer les dimensions stratégiques qui vont peser sur l'avenir de l'industrie automobile mondiale tout entière.