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Les agences de notations sont nécessaires... à ceux qui ne sont pas notés

Il y a pire que d'être mal noté par Moody's, Fitch ou S&P's, écrit Otaviano Canuto, vice-président de la Banque mondiale chargé de la réduction de la pauvreté. C'est de ne pas être noté du tout.

La rédaction de Mediapart

Il y a pire que d'être mal noté par Moody's, Fitch ou S&P's, écrit Otaviano Canuto, vice-président de la Banque mondiale chargé de la réduction de la pauvreté. C'est de ne pas être noté du tout. Pas d'accès au crédit alors, ou à des taux usuraires. 58 pays en développement sont actuellement dans ce cas qui mesurent chaque jour la difficulté de ne même pas apparaître dans le champs de vision de possibles créanciers.

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