Le fondateur du FN, qui a été exclu du parti en août dernier, a réuni quelques centaines de fidèles place des Pyramides, au pied de la statue équestre du Ier arrondissement de Paris qu'il avait célébrée l'an dernier. Les menaces de l'état-major du FN, promettant des sanctions contre les cadres du parti qui s'afficheraient avec Jean-Marie Le Pen, n'ont pas impressionné le député européen Bruno Gollnisch, fidèle du “menhir”, ni Marie-Christine Arnautu, vice-présidente.
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