Éducation et enseignement supérieur

Privé de financements publics, le groupe scolaire musulman Al‐Kindi est en péril

Conséquence de la rupture de son contrat d’association avec l’État, l’établissement privé situé près de Lyon, où sont scolarisés 500 élèves, ne touche plus un euro d’argent public depuis la rentrée. De quoi aggraver une situation financière déjà « particulièrement fragile ».

Matthieu Slisse (Mediacités)

Lyon (Rhône).– Le rapport avait déjà fuité bien avant sa publication officielle mercredi 24 septembre. Et pour cause, l’école primaire‐collège‐lycée privé Al‐Kindi de Décines-Charpieu est au cœur de l’attention politico‐médiatique depuis la décision, le 10 janvier 2025, de l’arrêt de tout financement public, au motif « d’atteintes aux valeurs de la République ».

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