La PAF toulousaine accusée d’une « remise en liberté » très brutale

Deux étrangers en procédure Dublin accusent des policiers de les avoir laissé tomber sur la route cet été à l’issue d’une mesure d’éloignement avortée. L’enquête est en cours.

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Toulouse (Haute-Garonne).– La fête nationale, ce n’est pas pour tout le monde. Le 14 juillet dernier au matin, N., un jeune Afghan de 24 ans, et Y., un Nigérian de 35 ans, disent avoir été jetés, au sens propre, hors d’un fourgon de police par des fonctionnaires de la PAF (police aux frontières), alors que le véhicule roulait à faible allure, à proximité de l’aéroport de Montpellier. Un récit contesté par les autorités mises en cause qui, pour autant, ne livrent pas leur version des faits ; contrairement à N. qui, trois mois et demi après cette journée, demeure profondément marqué, comme il nous l’a raconté (voir la Boîte noire).

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