Après Bétharram, le #MeToo de l’enseignement catholique

Avant Bétharram, l’enseignement catholique s’activait en coulisses pour limiter les contrôles

L’enseignement catholique l’a dit sur tous les tons depuis Bétharram. Il est pour un contrôle accru des établissements privés. Il y a quelques mois pourtant, son patron Philippe Delorme tentait d’infléchir la position du ministère sur le périmètre de ces contrôles.

Mathilde Goanec

Il y a les choses qu’on dit et les choses qu’on fait. En la matière, l’audition du patron du secrétariat général de l’enseignement catholique (Sgec), Philippe Delorme, mardi 2 avril devant la commission d’enquête parlementaire sur les violences dans les établissements scolaires, s’avère particulièrement éloquente.

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