Crise à la Fédération française de tennis Enquête

La crise sociale s’aggrave au sein de la Fédération française de tennis

Dénonçant le climat social délétère, une centaine de salariés de la FFT ont interpellé leur président, Gilles Moretton, dans une lettre ouverte. En réponse, celui-ci leur annonce la saisine d’un « cabinet externe indépendant ». L’affaire éclabousse Amélie Oudéa-Castéra.

Laurent Mauduit

Décidément, la politique sociale brutale conduite par la directrice générale de la Fédération française de tennis (FFT), d’abord Amélie Oudéa-Castéra avant qu’elle ne devienne ministre, puis par sa successeure Caroline Flaissier, sous l’autorité du président, Gilles Moretton, ne cesse de faire des vagues.

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