Annoncé ce jeudi, le plan de relance constitue surtout la poursuite de la politique de l’offre du quinquennat Macron. De vraie « relance », il n’en est pas réellement question. On reste sur un saupoudrage d’aides et de subventions aux entreprises sans direction claire.
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Le packaging est parfait. L’emballage du « plan de relance » annoncé ce jeudi 3 septembre et baptisé « France Relance » est, d’apparence, scintillant. D’abord, un chiffre, 100 milliards d’euros, suffisamment énorme pour prouver l’engagement de l’État et permettre les superlatifs du type « le plus grand plan de relance de l’histoire ». Ensuite, tous les ingrédients des discours à la mode du moment sont présents dans ce plan, à commencer par le « verdissement » et par « l’innovation ». Enfin, il y en a pour tout le monde ou presque. Tous les secteurs de l’économie reçoivent un peu sous des formes diverses. Bref, chacun pourra sans doute s’en féliciter, plus ou moins. Mais au bout du compte, ce plan est un excellent produit marketing.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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