Comment le parlement de l’Union populaire dynamise la campagne de Mélenchon
Organe de liaison entre les mouvements sociaux et la campagne de Jean-Luc Mélenchon, le parlement de l’Union populaire, qui rassemble désormais trois cents personnes, est aussi pensé comme une rampe de lancement pour les législatives, et un laboratoire de la reconstruction de la gauche. En cas de réussite, il aurait vocation à perdurer.
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Dimanche 23 janvier, Paris s’éveille et déjà la cour intérieure d’un vieil immeuble du Xe arrondissement bruisse de centaines de voix. Des ami·es de longue date se retrouvent par grappes autour d’un café, dans les vastes locaux du Parti ouvrier indépendant (POI, héritier de l’Organisation communiste internationaliste, trotskiste, où Jean-Luc Mélenchon militait au début des années 1970). On croise les jeunes parlementaires de La France insoumise (LFI), l’ancienne porte-parole d’Attac, Aurélie Trouvé, le taulier du Parti de gauche, Jean-Christophe Sellin, ou encore Gabriel Amard, membre historique du Parti de gauche.
L’ancien patron des députés LR, Damien Abad, a été nommé ministre des solidarités en dépit d'un signalement pour des faits présumés de viols adressé à LREM et LR par l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique. Deux femmes, dont Mediapart a recueilli les témoignages, l’accusent de viol, en 2010 et 2011. Il conteste les faits.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
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