Gaz lacrymogène: Montpellier suffoque

Au lendemain de l’acte XIX des « gilets jaunes », samedi 23 mars, plusieurs manifestants ont constaté des problèmes de santé liés à l’utilisation massive et répétée du gaz lacrymogène. Les forces de l’ordre commencent, elles aussi, à relever quelques symptômes. Ne s’agit-il pas plus d’un problème de santé publique que de maintien de l’ordre ?

Xavier Malafosse et Benjamin Téoule (Le D'Oc)

4 avril 2019 à 18h54

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« On est plus chaud ! Plus chaud ! Plus chaud qu’le lacrymo ! » Ce slogan entendu quasiment chaque samedi dans le cortège des « gilets jaunes » symbolise la volonté de ne pas se retirer des rues du centre-ville de Montpellier, malgré la volonté des forces de l’ordre de disperser les manifestants. Mais les contestataires pourraient bien déchanter.

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