Au tour des 34 interpellé·e·s de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière de livrer leur version des faits. Alors que la version du ministre de l'intérieur – qui avait fustigé une « attaque » de l'hôpital par des manifestants avant de revenir sur ses propos – a été contredite par les faits, une grande partie des interpellés, réunis dans un collectif baptisé « des 34 de la Pitié », ont dénoncé samedi des « abus de pouvoir » et des « violences policières ». « La manifestation déclarée et autorisée s’est transformée en cauchemar traumatisant », ont-ils déclaré, en précisant s’exprimer non pas « au nom des 34, mais au nom d'une majorité ».
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