Au sein de la police, c’est une libération historique de la parole. Pas encore un déferlement mais une lame de fond qui se profile, et qui bouscule la « maison ». Deux dates clés agissent comme des propulseurs : les manifestations nocturnes de policiers non syndiqués (2016) et, plus encore, les « gilets jaunes » (à compter de novembre 2018) – et leur cortège de blessés et de mutilés.
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