Les deux agents territoriaux de Saint-Pierre (La Réunion) suspectés d'avoir procédé au remplacement de bulletins lors de la dernière élection européenne ont été mis en examen pour « modification des résultats d’un scrutin par acte frauduleux dans un bureau de vote par un fonctionnaire », un délit passible d’une amende de 30 000 euros et de deux ans d’emprisonnement.
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