Le RN accusé de détournements de fonds européens Chronique

Au tribunal, Marine Le Pen dit son « sentiment d’injustice »

L’ancienne présidente du RN a nié avoir commis la moindre infraction dans l’affaire des assistants parlementaires européens, et a critiqué le dossier judiciaire, mardi au tribunal de Paris.

Michel Deléan

Elle bouillait littéralement sur son banc depuis la veille. Mardi 5 novembre, peu avant 18 heures, Marine Le Pen est appelée à la barre de la 11chambre correctionnelle de Paris. L’ex-présidente du Rassemblement national (RN) (de 2011 à 2021), déjà entendue au cours de ce procès, et qui risque gros, est cette fois-ci interrogée en sa qualité d’ex-responsable du parti, pour des faits de « complicité de détournements de fonds publics » dans l’affaire des assistants parlementaires européens.

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