Le "Parlement" du parti socialiste s'est réuni, samedi 6 décembre, à Paris, pour entériner la nouvelle équipe de direction présentée par Martine Aubry et adopter le texte d'orientation concocté par les trois motions qui l'ont portée à la tête du parti. Parmi les 38 postes distribués, aucun n'est allé aux proches de Ségolène Royal, qui a "séché" la séance. Désormais dans la minorité, les "royalistes" ont raillé un «faux-départ» et regretté qu'on leur ait "fermé la porte", mettant en scène la rupture. En coulisse, tous les "vieux" courants ont tenté de caser leurs poulains. Lire aussi:L'entretien avec le nouveau porte-parole du PS, Benoît Hamon, propos recueillis par Stéphane AllièsLes verts rangent les couteaux pour afficher leur unitéAu PCF, les «exclus» dénoncent une «purge»
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PasPas un "royaliste" n'a intégré la direction du PS présentée par Martine Aubry, samedi 6 décembre, lors d'un Conseil national du parti très agité. L'intégralité des 38 postes en lice est tombée dans l'escarcelle des représentants des motions Aubry, Hamon et Delanoë, alliées et cosignataires d'un «texte d'orientations» pour les 3 ans à venir (9 pages téléchargeables ici).