Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires Reportage

Au tribunal de Bobigny, la version des policiers ne convainc pas

Interpellés pour « destruction par incendie » et des violences contre des policiers après la mort de Nahel, trois jeunes hommes ont passé cinq semaines en détention. Lors du procès, l’absence d’éléments et des vidéos Snapchat ont remis en cause la version policière. Les trois prévenus ont été relaxés. 

Méline Escrihuela (Le Bondy Blog)

Mehdi H. (21 ans), Hassan A. (20 ans) et Mohamed H. (19 ans) comparaissaient pour violences envers trois policiers de la BAC de Gagny (Seine-Saint-Denis) commises en réunion la nuit du 29 juin. Des faits de « destruction par incendie » en mettant feu à des poubelles sont également retenus contre certains d’entre eux.

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