France

L'embuscade procédurale sauve Jacques Chirac

A la faveur d'une «QPC» miraculeuse, Jacques Chirac et les neuf autres prévenus de l'affaire des emplois fictifs peuvent donc rentrer ou rester chez eux. Le procès est renvoyé à une date indéterminée et ne pourra pas se tenir au mieux avant l'automne. Et pourtant, l'ancien président voulait tellement «s'expliquer»...

Michel Deléan

Soit Jacques Chirac a eu du nez en décidant de sécher purement et simplement les deux premières journées de son procès, soit il était très bien renseigné. Toujours est-il que le procès de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris et de ceux du RPR, dans lequel l'ancien maire de la capitale et chef du parti gaulliste ainsi que neuf autres prévenus devaient être jugés, vient d'être renvoyé aux calendes grecques.

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