Dans l'affaire d'espionnage informatique visant notamment Greenpeace, qui aurait été surveillé à la demande d'EDF, le juge de Nanterre, Thomas Cassuto, a procédé mardi 7 avril à une confrontation entre tous les mis en examen. Le numéro 2 de la sécurité d'EDF maintient n'avoir jamais demandé le piratage de l'ordinateur de l'ex-directeur de l'association. L'informaticien qui a réussi à infiltrer le système de Greenpeace assure avoir agi sur l'ordre de Kargus Consultants, une officine privée liée à EDF.
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L'affaireL'affaire d'espionnage informatique visant notamment Greenpeace, qui aurait été espionné à la demande d'EDF, a connu un nouveau développement, mardi 7 avril. Le juge de Nanterre (Hauts-de-Seine), Thomas Cassuto, a procédé dans son cabinet à une confrontation entre tous les mis en examen – ils sont quatre au total. Chacun est resté sur ses positions, de sorte que, pour le moment, le magistrat ignore toujours la connaissance que pouvait avoir la direction d'EDF de la surveillance informatique destinée à infiltrer l'organisation écologiste.