Huit nuits plus tard et toujours debout. La « Nuit debout » tient bon à Paris, se répand dans plusieurs villes, mais reste pour l’instant un événement qui mobilise un cercle restreint si on le met en parallèle des mobilisations syndicales contre la loi sur le travail. La mobilisation de ce samedi 9 avril a du coup forcément valeur de test. La CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL appellent à une nouvelle grande journée d'actions et de manifestations. À l’issue des défilés syndicaux et étudiants dans les grandes villes contre la loi El Khomri, quelle part des manifestants viendra grossir les places occupées par la « Nuit debout » ? Et pour y dire quoi ? Pour y faire quoi ?
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