Place de la République, un «nous» qui bouge tout le temps
Nouvelle journée de manifestations contre la loi sur le travail, ce samedi 9 avril. Ou alors le 40 mars, si la place de la République est encore occupée pour une nouvelle « Nuit debout ». Depuis neuf jours, ses initiateurs sont débordés de tous côtés par des volontaires parfois éloignés des cercles militants.
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Huit nuits plus tard et toujours debout. La « Nuit debout » tient bon à Paris, se répand dans plusieurs villes, mais reste pour l’instant un événement qui mobilise un cercle restreint si on le met en parallèle des mobilisations syndicales contre la loi sur le travail. La mobilisation de ce samedi 9 avril a du coup forcément valeur de test. La CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL appellent à une nouvelle grande journée d'actions et de manifestations. À l’issue des défilés syndicaux et étudiants dans les grandes villes contre la loi El Khomri, quelle part des manifestants viendra grossir les places occupées par la « Nuit debout » ? Et pour y dire quoi ? Pour y faire quoi ?
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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