Une affaire de violences sexuelles sème la discorde dans une section CGT
À Rouen, le dossier de possibles violences sexuelles commises au sein de la Gauche révolutionnaire rejaillit au sein du syndicat CGT Éduc’action 76. Plusieurs de ses membres viennent de démissionner pour s’opposer à la présence sur la liste aux élections professionnelles d’un cadre de la formation trotskiste.
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RouenRouen (Seine-Maritime).– En 2021, la Gauche révolutionnaire était rattrapée par la vague #MeToo. Aujourd’hui, l’affaire sème le trouble au sein du syndicat CGT Éduc’action de Seine-Maritime, qui accueille plusieurs militant·es estampillé·es « GR », une formation trotskiste groupusculaire pour partie basée à Rouen.
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