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A Saint-Nazaire, un ouvrier noir comparé à un singe

Un ouvrier d'une société des constructions navales de Saint-Nazaire a été poussé à la démission après des années de harcèlement, de vexation et de racisme. Le Conseil des prud'hommes de Saint-Nazaire vient de lui accorder 24 000 euros de dommages et intérêts. 

La rédaction de Mediapart

Un ouvrier d'une société des constructions navales de Saint-Nazaire, harcelé pendant plusieurs années, victime de blagues racistes qui l'ont poussé à la démission, a obtenu du Conseil des prud'hommes de Saint-Nazaire 24 000 euros de dommages et intérêts.

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