Pour Macron, le néolibéralisme est un socialisme

Emmanuel Macron a précisé sa vision de la politique sociale : un nouvel État-providence qui fournit à chaque individu les moyens d’être acteur du marché et qui réduit la redistribution des revenus. Un rêve néolibéral à haut risque pour la société.

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Ce deuxième discours devant le Congrès de Versailles aura été l’occasion pour Emmanuel Macron de répondre à la critique lancinante depuis un an de son action : son absence de « pilier social ». Encore une fois, cette réponse n’a pas été celle d’une inflexion de la politique, pas davantage par l’annonce de mesures concrètes. La réponse a été une réponse de principe : le social ne passe pas par la redistribution, mais par le bon fonctionnement de l’ordre concurrentiel.

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