Examens : la ministre parle, les universités se débrouillent
Manque de protections, décisions gouvernementales communiquées à la dernière minute... À l’université, chaque rentrée sous Covid-19 est ponctuée des mêmes problématiques, laissant libre cours à l’imagination des établissements qui doivent s’adapter. L’organisation de la session de partiels de janvier 2022 n’a pas dérogé à la règle.
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DepuisDepuis le début de la crise sanitaire, chaque rentrée de vacances se noie dans un océan de témoignages d’enseignants-chercheurs inquiets pour leurs étudiants, de communiqués émanant d’organisations syndicales, toujours les mêmes, alertant sur le manque structurel de moyens dans l’enseignement supérieur et sur leur incapacité, financière et matérielle, à s’adapter sans cesse au gré de l’épidémie et des décisions du gouvernement. Les mêmes se disent fatiguées de recevoir des ordres contradictoires et des circulaires de dernière minute.