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Commémorer, c’est bien, réparer, c’est mieux

A l’occasion de la Journée commémorative de l’abolition de l’esclavage, le président du Conseil représentatif des associations noires de France rappelle dans une tribune que la question des réparations n’a toujours pas été réglée. 

La rédaction de Mediapart

Le débat est ancien. Les esclaves, en effet, ont toujours exigé deux choses : liberté et justice. La liberté, ils se sont battus pour l’obtenir ; pour ce qui est de la justice, le combat continue. C’est ce qu’on appelle la « réparation », car il n’y a pas de justice sans réparation. Depuis des siècles, cette noble cause a été soutenue par des personnalités aussi emblématiques que Condorcet, Lincoln, Martin Luther King, Malcolm X, Aimé Césaire, Franz Fanon, Desmond Tutu, Wole Soyinka, Christiane Taubira, et tant d’autres. Et depuis quelques années, la bataille progresse de manière significative dans le monde entier.

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