Comment finaliser la stratégie de « dédiabolisation » du Front national ? Pour le tandem Marine Le Pen-Florian Philippot, cela passe par une « nouvelle force politique », défaite de l’image et de l’histoire d’un parti lié à Jean-Marie Le Pen. Du FNUF en 1972 à l’Alliance patriote et républicaine en 2017, la question du changement de nom a parcouru l’histoire du FN.
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Ce soir du 7 mai 2017, Marine Le Pen prend la parole peu après 20 heures. La présidente du FN déclare notamment ceci : « Par ce résultat historique et massif, les Français ont désigné l’alliance patriote et républicaine comme la première force d’opposition au projet du nouveau Président. (…) Le premier tour a entériné une décomposition majeure de la vie politique française par l’élimination des partis anciens. Ce second tour organise une recomposition politique de grande ampleur autour du clivage entre les patriotes et les mondialistes. (…) Le Front national, qui s’est engagé dans une stratégie d’alliance, doit lui aussi se renouveler afin d’être à la hauteur de cette opportunité historique et des attentes des Français exprimées lors de ce second tour. Je proposerai donc d’engager une transformation profonde de notre mouvement afin de constituer une nouvelle force politique que de nombreux Français appellent de leurs vœux. »
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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