Alstom: le document qui prouve que GE n’a pas tenu ses engagements
En novembre 2014, le gouvernement français et General Electric signaient un accord censé encadrer les conditions de reprise d’Alstom et son futur en France. Trois ans après, aucun des engagements pris par le groupe américain n’a été tenu. Les 1 000 emplois promis n’ont pas été créés. Le site de Belfort est menacé.
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C’étaitC’était une des promesses de l’État français : même si la branche énergie d’Alstom passait sous le contrôle de General Electric (GE), il veillerait à l’avenir et au développement industriel de l’activité en France. Le 4 novembre 2014, un accord était signé entre le gouvernement français et le groupe américain pour formaliser les engagements contractés par GE à la suite du rachat d’Alstom.