C’était une des promesses de l’État français : même si la branche énergie d’Alstom passait sous le contrôle de General Electric (GE), il veillerait à l’avenir et au développement industriel de l’activité en France. Le 4 novembre 2014, un accord était signé entre le gouvernement français et le groupe américain pour formaliser les engagements contractés par GE à la suite du rachat d’Alstom.
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