À Angers, la justice délivre un blanc-seing à une milice « armée »
Le parquet avait requis une interdiction de séjour de deux ans à Angers contre des anciens de l’Alvarium, un groupuscule d’extrême droite dissous, pour des violences commises en marge des manifestations pour Nahel. Trois des quatre prévenus ont été relaxés.
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IlsIls ne sont que quatre. Comparaissent libres. On leur reproche une simple « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens commis » et, pour l’un d’entre eux, des violences n’ayant pas entraîné d’incapacité. Une audience comme il y en a tous les jours, dans tous les tribunaux correctionnels de l’Hexagone. Une audience ordinaire. Ou presque.