Les «signaux faibles», outil de contrôle des populations

Depuis la tuerie de la préfecture de police, responsables politiques et médias appellent les citoyens à surveiller les « signaux faibles » annonçant une radicalisation dans leur entourage. À l’origine de cette notion, se trouve une théorie à l’efficacité contestée issue des doctrines sécuritaires américaines.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

« Signaux faibles ». Depuis les révélations sur la personnalité de l’auteur de la tuerie du 3 octobre à la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) de Paris, ce concept est repris en boucle dans les médias.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal