« On est dans la démerde permanente » : à Montpellier, une école craque

De non-remplacement en non-remplacement, les professeurs et parents d’élèves de l’école élémentaire Charles-Daviler, à Montpellier, jugent que « le contrat » éducatif n’est plus rempli. Un cas d’école symptomatique de la cacophonie ambiante, générée par le manque d’effectifs et les limites du protocole sanitaire.

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Montpellier (Hérault).– Depuis plusieurs semaines déjà, l’école Charles-Daviler craque. « Nos enfants aussi ont le droit à la continuité pédagogique. Vous avez du personnel dédié aux remplacements. Où est-il ? […] Faites savoir à vos supérieurs et/ou au ministère […] qu’ils sont responsables de la rupture scolaire que vivent nos enfants », ont martelé les parents d’élèves dans un courrier envoyé au directeur des services départementaux de l’Éducation nationale (ex-inspecteur d’académie), jeudi 6 janvier.

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