Elles devaient servir à lutter contre les contrôles au faciès mais n’ont eu aucun effet positif en la matière. De l’aveu même du directeur général de la police nationale (DGPN) Éric Morvan, l’enregistrement des contrôles d’identité par les caméras-piétons « ne constitue pas un moyen de vérifier si le contrôle sur la personne est abusif ». Il l’écrit au ministre de l’intérieur le 3 avril 2018, dans une note que Mediapart s’est procurée.
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