Trois procès pour le prix d’un. Neuf personnes comparaissaient, mercredi 11 février, devant la 33e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour trois actions de décrochage du portrait officiel du président Emmanuel Macron dans des mairies parisiennes en février dernier. Trois procès différents parce que si la présidente du tribunal jugeait ces faits, les prévenus, eux, se sont efforcés de faire le procès de la politique climatique de Macron, tandis que le procureur s’échinait à faire celui de l’action non violente et de la désobéissance civile.
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