Comme l’annonçait Mediapart le 28 septembre, le juge Jean-Michel Gentil vérifie méticuleusement les rendez-vous discrets qui ont eu lieu entre Nicolas Sarkozy et Philippe Courroye pendant l’affaire Bettencourt (lire ici). Le soupçon étant que l’alors président de la République ait demandé au procureur de Nanterre d’étouffer une affaire qui menaçait d’être embarrassante pour lui-même, ainsi que pour ses proches et pour son parti.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous