Depuis qu’il a purgé sa peine en 2011, Merouane Benahmed s’enlise dans une impasse administrative. À 47 ans, cet Algérien fait partie de la poignée d’étrangers à la fois interdits de territoire français après une condamnation dans des affaires terroristes, et inexpulsables en raison du sort que leur réserve leur pays d’origine – il a été condamné à mort en Algérie. Or, cette situation kafkaïenne pèse gravement sur sa famille.
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