C’est un énorme pavé dans la mare révélé par Le Figaro, et qui pourrait tout changer dans l’affaire de l’essai clinique de Rennes : en novembre 2015, deux mois avant l’accident qui a provoqué la mort de Guillaume Molinet le 17 janvier dernier, un autre volontaire de l’étude menée par la société Biotrial a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Et cela, pendant la période où ce volontaire était exposé à la molécule testée, le BIA 10-2474.
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