Tarnac: une reconstitution pour rien

Les avocats de Julien Coupat et d'Yildune Lévy contestent la façon dont la justice antiterroriste a procédé à la reconstitution du sabotage d'une caténaire de TGV. Ils menacent maintenant de faire dessaisir le juge Fragnoli.

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Les avocats de Julien Coupat et d'Yildune Lévy, membres du fameux «groupe de Tarnac» soupçonnés d'avoir saboté une caténaire de TGV, montrent à nouveau les dents. Devant faire face à une instruction démarrée au pas de charge et sous la pression de l'exécutif, pour des faits qualifiés de terroristes, mais qui a accouché d'un dossier quasiment vide de preuves et entaché d'erreurs qui ressemblent fort à des trucages, Thierry Lévy, William Bourdon et Jérémie Assous concentrent aujourd'hui leur tir contre le juge d'instruction Thierry Fragnoli : ils menacent de lancer une demande en récusation du magistrat, dont ils mettent ouvertement en doute l'impartialité.

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