«Fake news», les étoiles éteintes de la démocratie
Tout le mal de nos démocraties tiendrait en deux mots : « Fake news ». Derrière l’illusion d’un diagnostic, l’expression fonctionne comme un écran, un alibi pour une censure étatique qui masque les causes du discrédit de la parole publique et son histoire depuis les années 1990.
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TopshopTopshop, la célèbre marque britannique dont la notoriété a explosé depuis qu’elle s’est associée avec Kate Moss pour une collection à son nom, vient de créer une paire de jeans, en toile semi-extensible, ornés sur le côté d’une large bande avec les mots « fake news » en lettres majuscules blanches sur un fond rouge. « Il ne vous reste plus qu’à imaginer ces jeans, avec une veste de smoking et des talons hauts, et bingo! », écrit avec humour Vanessa Friedman, la chroniqueuse de mode du New York Times.
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