Gauche(s) Parti pris

Second tour : la responsabilité des gauches

Alors qu’elles avaient cinq ans pour constituer un front face à des droites et extrêmes droites divisées, les formations de gauche ont été incapables d’éviter la répétition du duel Macron-Le Pen. La tâche de reconstruction qui attend l’Union populaire, arrivée en tête de son camp, est désormais décisive.

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Pour la deuxième fois en cinq ans, les électeurs et électrices de gauche sont condamnés à choisir entre deux maux. Le 24 avril, ils pourront soit s’abstenir, au risque de participer indirectement à la victoire d’une extrême droite plus puissante que jamais, soit voter pour un candidat dont le bilan et les velléités leur font horreur.

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