C'est l'équipe fantôme de Marine Le Pen, celle qui n'apparaît dans aucun organigramme mais qui la côtoie depuis vingt ans. En amont de la présidentielle de 2017, ce petit cercle fermé s'active, loin de l’agitation du siège du Front national et des caméras. On y trouve le micro-parti de la patronne du FN, mais aussi des prestataires liés à la nébuleuse des anciens du GUD (Groupe Union défense – une organisation radicale d'extrême droite), qui travaillent pour le parti et pour ses villes.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous