C’est largement la doyenne de l’immeuble, elle qui vit dans les murs depuis trois décennies. « Mon petit dernier avait un an quand je suis arrivée, le bâtiment était quasiment neuf », raconte Michèle Barucq, 74 ans. À l’époque, les arbres en contrebas qui forment une ceinture verte autour du petit square Georges-Brassens ne dépassaient pas le rez-de-chaussée, et le soleil entrait largement dans son salon. Il fait toujours un peu sombre dans la pièce désormais, même en été.
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