Ce n’est pas un vulgaire programme qu’a présenté ce lundi 15 avril à Strasbourg le Rassemblement national, mais un « manifeste ». Un texte de 75 pages qui acte l’abandon du Frexit et confirme que le parti ne souhaite plus sortir de l’euro. Un texte qui défend les « circuits courts » et plaide pour une surtaxe des importations « mondialisées et anti-écologiques ». En un mot, le « localisme », une notion qui irrigue tout le texte.
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