Le patronat se cherche un représentant moins encombrant que Maurice Lévy

Le maintien de Maurice Lévy à la présidence de l'Association française des entreprises privées, puissant lobby patronal, semble impossible après le scandale de ses rémunérations. Il y a urgence à lui trouver un remplaçant : le projet de Hollande d'imposer à 75 % les rémunérations au-dessus de 1 million les menace tous.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

« Ce n’est pas possible. Maurice Lévy ne peut pas rester à la tête de l’association française des entreprises privées (AFEP). » Les conciliabules et les fausses confidences battent leur plein dans les milieux patronaux. Comme ce patron d’un des très grands groupes industriels du CAC 40, ils sont nombreux à juger que le dirigeant de Publicis ne peut plus les représenter. Deux mois après, le milieu des affaires ne lui a toujours pas pardonné son erreur.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal