Valls touche à la liberté d’expression pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme
La seule mesure d’envergure présentée par Manuel Valls vendredi 17 avril à Créteil est contestée par la plupart des organisations de lutte contre le racisme, les juristes spécialisés dans le droit de la presse et les défenseurs des libertés sur Internet.
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Dans le contexte français post-attentats, Manuel Valls n’allait pas laisser passer l’occasion de présenter lui-même le plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme préparé par le nouveau délégué interministériel Gilles Clavreul, que le premier ministre a placé sous sa tutelle. Entouré d’un aréopage de ministres, il s’est symboliquement rendu à Créteil, dans le Val-de-Marne, où a eu lieu une violente agression antisémite en décembre 2014 – un couple a été séquestré à son domicile, la jeune femme violée et leur appartement cambriolé.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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