Fillon, Gaudin, Falco, etc. La liste est longue des (ex)-parlementaires français, menacés par des enquêtes anticorruption, qui surveillent cette décision depuis des semaines comme le lait sur le feu, espérant se rassurer un peu. Au contraire, la justice vient de pousser les gaz. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris (chargée de contrôler le travail des juges d’instruction) a en effet estimé, lundi 18 décembre, que rien n’empêchait, en France, de poursuivre un parlementaire pour « détournement de fonds publics ».
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