Toulouse (Haute-Garonne).– C’est un cadeau de Noël très moyen : le 24 décembre, un plan social concernant 32 salariés sur 75 entrera en application dans l’entreprise Cauquil, spécialiste de la mécanique de précision, sous-traitant de « gros » du secteur, tels Safran ou Latécoère. Installée dans une petite commune de la métropole toulousaine, Cauquil fait partie de cette myriade d’entreprises touchées par la crise qui secoue l’aéronautique depuis le début de la pandémie au printemps dernier (relire « A Toulouse, un cauchemar social se dessine pour l’aéronautique »).
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous