Ils sont classés par leur nom, leur matricule et leur ancienneté. Mais aussi par le nombre de jours de conduite qu’ils ont effectués pour l’entreprise en 2017, 2018 et 2019, et par le nombre d’heures supplémentaires. Ou encore par le nombre de jours où ils ont été en arrêt maladie et en congé maternité. Sans oublier le nombre de jours de grève qu’ils ont posés entre 2017 et 2019.
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