Élisabeth Borne, une négociatrice compétente et raide au service du président

Ces deux dernières années, celle qui vient de devenir première ministre était affectée au ministère du travail. Tous les responsables syndicaux reconnaissent sa capacité de travail et sa propension à les recevoir, mais ont aussi constaté l’infime marge de manœuvre qu’elle leur accordait.

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Avec une certaine circonspection, sans impatience, et sans s’attendre à de grandes surprises. Alors qu’Emmanuel Macron a laissé entendre que son nouveau gouvernement se plierait rapidement à l’exercice de la grande « conférence sociale » avec les représentants du patronat et les syndicats, les responsables syndicaux savent déjà comment ils aborderont ces futures discussions à Matignon.

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