Pour le groupe Le Monde, cela s’apparente à une sortie de crise. Mais les manœuvres, petites et grandes, entre les différents protagonistes de l’affaire ont été si nombreuses ces dernières semaines, qu’on ne sait pas bien encore si le « pôle d’indépendance » qui croisait le fer pour obtenir un droit d’agrément, lui donnant le pouvoir d’accepter ou de refuser l’arrivée de tout nouvel actionnaire, a bel et bien gagné la partie qui n’est pas encore définitivement achevée.
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