Travail sous épidémie: «Pour les intérimaires, les fractures sont béantes»
Les intérimaires sont nombreux à être encore au travail, parfois pour remplacer des salariés rentrés chez eux, notamment dans les plateformes logistiques. Laëtitia Gomez, à la CGT, s’inquiète des nombreux abus qui commencent à émerger.
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LesLes intérimaires sont également en première ligne, dans une économie certes ralentie par le Covid-19, mais dont certains secteurs gourmands en main-d’œuvre tournent à plein régime, comme les plateformes logistiques. En France, il a près de 3 millions d’intérimaires, qui enchaînent les contrats, le plus souvent de moins d’un mois. Pour cette population déjà fragilisée (les femmes, en particulier, 30 % du bataillon, travaillent en moyenne moins de 400 heures par an), l’épidémie est un tourment supplémentaire. Entretien avec Laëtitia Gomez, secrétaire générale du syndicat CGT Intérim.
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